Résumé : |
Dans les écoles québécoises, la co-intervention externe est la forme de collaboration la plus utilisée (Gaudreau, 2010). Cette méthode, bien que nécessaire pour les élèves ayant des besoins précis, n’accorde bien souvent que trop peu de temps par élève à l’extérieur de la classe (St-Laurent, Dionne, Giasson, Royer, Simard et Piérard, 1998; Tremblay, 2015). Ces élèves manquent des contenus et peuvent se sentir stigmatisés de devoir sortir de la classe, ce qui est contraire au principe de l’éducation inclusive (Tremblay, 2015). |