Résumé : |
ParisTech, groupement d’écoles, a signé un partenariat avec une université chinoise liée à l’Armée populaire de libération (APL) qui a retenu l'attention de la direction générale de la sécurité intérieure.
Le gouvernement français tient deux lignes de conduite d’apparence contradictoire : attirer plus d’étudiants étrangers (500 000 d’ici à 2027), mais aussi protéger plus la recherche contre le pillage et mieux sensibiliser l’enseignement supérieur aux menaces. Près de 600 « zones à usage restrictif », des laboratoires travaillant sur des sujets sensibles, ont ainsi été créées. Les doctorants ou stagiaires étrangers en sont exclus. Une mission d’information sur les ingérences étatiques extra-européennes dans l’enseignement supérieur, est en cours au Sénat jusqu'à fin septembre. |