Résumé : |
"Avec l’essor de la dématérialisation des processus, l’augmentation des fraudes, la pression constante de la réglementation (RGPD) et de la conformité, le volume des contenus et données à gérer par les organisations explose. Parallèlement à cela, les besoins d’ingestion, de stockage, d’identification, de contrôle, d’archivage légal, de recherche et d’accès direct par les utilisateurs s’accroissent eux aussi. Pour répondre à ces exigences, les solutions actuelles de GED et d’ECM doivent gagner en flexibilité, modularité, performance et fonctionnalités.
D'autant qu'aujourd'hui les technologies en matière de big data, d’intelligence artificielle et de machine learning, ou encore la blockchain, viennent challenger ces systèmes de gestion. Voilà pourquoi de plus en plus d’organisations s’interrogent sur le devenir de leur progiciel existant, qui coûte souvent très cher, n’évolue pas (ou peu) et n’offre pas les fonctions attendues. Sans compter que la nature des contenus à gérer par ces organisations est amenée à évoluer au cours des prochaines années. Les conversations issues de chatbot ou encore les empreintes de reconnaissance faciale devront aussi être injectées dans ces systèmes. Face à cette nouvelle donne, les entreprises ont besoin de rééclairer leur stratégie GED/ECM et Big Data. Et les choix vont être beaucoup plus compliqués qu’auparavant face à une offre pléthorique et surtout cloud first." |