Résumé : |
Révélatrice d’un profond malaise, la mobilisation nationale des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH), qui a débuté le 5 avril dernier, risque fort de durer. Au-delà de l’amélioration de leur statut et de leur rémunération, ces professionnels s’inquiètent de l’organisation de leur travail par les pôles inclusifs d’accompagnement localisés (Pial). Et d’une inclusion scolaire qui, loin d’atteindre ses objectifs, ne semble reposer que sur eux. |