Résumé : |
Dix-huit mois après la fusion des professions d’huissiers de justice et de commissaires-priseurs judiciaires, la nouvelle profession des commissaires de justice continue de se réinventer. Le nouveau nom de « commissaire de justice » est à la fois une contrainte et une chance, explique Benoît Santoire, président de la Chambre nationale des commissaires de justice qui espère profiter de cette refondation pour débarrasser la profession des clichés qui lui sont associés et créer de nouvelles vocations. |