| Résumé : |
La peur de devenir un mauvais vétérinaire est omniprésente chez les étudiants, comme en témoigne un nouveau rapport publié par Vétos Entraide. Cette perception est gouvernée par différents facteurs, notamment d'ordre psychologique. Pour la combattre, il importe de revoir l'essence même des études vétérinaires en tenant compte des évolutions sociétales auxquelles n'échappent pas les étudiants en les faisant évoluer vers un nouveau professionnalisme de la relation à l'animal sujet, plus proche de la relation du médecin à son patient. |
