Résumé : |
C'est une des réformes lancées par Emmanuel Macron pour libérer du temps médical : depuis septembre, les praticiens libéraux peuvent recruter un assistant et bénéficier d'un financement de l'assurance-maladie sous conditions, s'ils s'engagent à recevoir davantage de patients.
Mais sur le terrain le dispositif peine à convaincre. Avant même la signature en juin dernier de l'avenant n°7 sur les assistants par trois syndicats (MG France, CSMF, SML), les libéraux se montraient réticents. Sur près de 400 médecins interrogés en février sur le site du « Quotidien », plus de 80 % n'étaient pas prêts à embaucher un assistant. |