Résumé : |
Depuis le 22 janvier, les élèves de terminale qui veulent poursuivre leurs études dans l’enseignement supérieur peuvent enregistrer leurs vœux sur le site Parcoursup. Regroupant la majorité des formations post-bac, cette plate-forme a succédé au système Admission Post-Bac, dit APB, en butte à de multiples critiques – certaines filières en tension avaient départagé des candidats par tirage au sort en 2017. Avec Parcoursup, ce recours n’est plus possible. Surtout, les lycéennes et les lycéens n’ont plus besoin de classer les dix choix qu’ils peuvent formuler dans un premier temps, comme cela se faisait sur APB, avec les risques d’autocensure et les calculs complexes que cela entraîne. Et Parcoursup entend renforcer l’accompagnement des enseignants auprès des jeunes durant la procédure d’orientation. Reste que l’éventail des combinaisons envisageables est vaste. De la théorie au terrain, comment les jeunes ont-ils vécu ce nouveau système ? |