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Etudiants, jeunes actifs... la paupérisation croissante
Descripteurs : alternance ; condition de vie étudiante ; enseignement supérieur
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Depuis le début de la crise sanitaire, la proportion d'étudiants estimant que leur vie sera meilleure que celle vécue par leurs parents est passée de 46 à 27%. Etudiants qui perdent leurs jobs et se retrouvent sans revenus, jeunes de 18 à 29 ans qui ne sont plus en études... constituent la moitié des personnes aidées par les restos du coeur. Pour la présidente de l'OVE il est urgent de revoir le système des aides : bourses gérées par les CROUS, aide d'urgence mal connue. Et le contrat d'engagement jeune pour les moins de 26 ans sans emploi, ni formation ne touchera qu'une faible partie de ces jeunes en difficulté financière.