Résumé : |
"La première fois que le mot « dyslexie » a résonné en moi, c’était à l’université, en 2013. A l’époque, j’ai à peine 30 ans et j’entame une reprise d’études en psychologie. Un jour, le service de santé universitaire évoque ce trouble cognitif lors d’une journée d’intégration. Je me reconnais soudain, à ma grande surprise, dans les difficultés évoquées : fautes d’orthographe répétées, lenteur et manque d’automaticité dans la lecture et l’écriture, fatigue, problèmes de mémorisation, etc." |