Résumé : |
«Les jeunes des quartiers populaires sont ceux qui subissent le plus les effets du changement climatique, pour une série de raisons (pollution de l’air, accès à une alimentation de qualité, etc). Pourtant, ils sont sous-représentés dans le mouvement lié à l’écologie », constate Irène Colonna d’Istria, directrice des programmes « Transition juste » de l’association Makesense. Une situation qui tient en partie à l’image de ce mouvement, tantôt perçu comme réservé aux urbains très diplômés, tantôt comme le terrain d’activistes « avec une vision sacrificielle de l’engagement qui ne parle pas du tout à ces jeunes.» |